UE 2.6 structure de la personnalité et leurs modes de régulation
(décompensation spécifique)

I- les névroses

EN AUCUN CAS, UN CAS DE NEVROSE PEUT PENCHER VERS LA PSYCHOSE.

Le terme de névrose désigne un trouble mental vis a vis du quel le malade garde ça lucidité. Il n'y a pas d'altération du sens de la réalité ni de confusion chez la personne entre ses expériences subjectives et la réalité extérieur. Le comportement du sujet est perturbé mais son comportement reste dans des limites socialement accepté. La personnalité n'est pas forcément désorganisé. Pour Freud l'origine des névrose est un conflit très ancien devenu inconscient créant de l'angoisse. Les névroses sont donc un conflit intra-psychique dont sont origine se retrouve dans la petite enfance et qui resurgit dans certaines situations.
La fixation du conflit peut se trouver spécifique à certaines névroses. Freud a dit que au cœur de toute névrose il y à un noyau pathologique d'angoisse . Les sujets névrotiques peuvent avoir des troubles plus complexes comme une survenue de dépression des dépendances, des conduites d'échec, des accidents traumatiques liés à des pulsions d'autodestruction.

La névrose hystérique
L'hystérique converti inconsciemment ses sentiments refoulés en symptômes somatiques, en trouble corporelle . La personne hystérique parle avec son corps, c'est par lui et par ses symptômes qu'elle exprime sa détresse. L'affect est convertie par le corps, et le symptôme exprime de façon symbolique le retour du refoulé.
La conversion somatique est un compromis somatique évitant l'épreuve de réalité et c'est un appel à l'autre puisque les mobiles à l'autre sont refoulés.
Les troubles somatiques sont des troubles de la conversion qui débute entre 15 et 25 ans.
Et 10% après 45 ans. Ces troubles s'exprime. Ces troubles peuvent s'exprimer au travers de paralysie, de contracture, de palpitation, d'hémorragie génitale, de trouble de la parole, etc.... en faite cela dépend des points faibles de la