Les sans-gueule, coeur double
(p. 4) Ici, la comparaison avec un singe et l’emploi de vocabulaire péjoratif en utilisant les adjectifs «vilain» et «mauvais», expriment parfaitement l’abaissement de la valeur humaine. Ensuite, la déshumanisation est représentée par la réduction des deux hommes à l’état de la chose. Ceci transparait dans la façon dont « la petite femme » regarde les deux hommes : « Elle les regardait tous deux comme ses "mannequins rouges, " et ce furent les poupées falotes qui peuplèrent son existence.» (p. 4) La comparaison avec des mannequins ensuite avec des poupées illustre ici tout le mépris qui est accordé à la vie des deux hommes. En