Les écrivains "réveillent" mieux le peuple que les non-artiste?
« Personne qui se voue à l’expression du beau, pratique les beaux-arts, l’art ». Voici ce que l’on trouve comme définition de l’artiste dans Le Petit Robert édition 2001. Il s’agit donc d’une personne qui cherche à placer la beauté dans ses œuvres, pourtant « les grands artistes sont ceux qui imposent à l’humanité leur illusion particulière » (Guy de Maupassant). On observe ainsi plusieurs arts qui étudient le même thème mais de manière différente comme, par exemple, la guerre qu’on retrouve dans Candide de Voltaire dans le chapitre 3 avec la violence des Bulgares envers les Avares et vice-versa ; on le voit aussi à travers le tableau Tres de mayo de Goya qui dénonce la violence de l’invasion française en 1808. On le remarque également dans un film appelé Schindler’s list réalisé par Steven Spielberg où l’on montre les atrocités commises par les allemands envers les juifs pendant la Seconde Guerre Mondiale. On constate ainsi que l’une des fonctions de l’artiste est de « réveiller le peuple » ; on pourrait donc se poser la question si la méthode de dénonciation des artistes est plus efficace que d’autres ? Pour répondre à cette question, on énoncera premièrement les œuvres dont l’objectif est précisément de « réveiller le peuple », puis on verra les défauts de certaines œuvres et on terminera par un inversement de rôle entre les artistes et non-artistes.
Les œuvres qui ont pour objectif de « réveiller » le peuple sont présentes sous diverses manières : Premièrement, on a ce qu’on appelle le patriotisme. Il s’agit, donc, d’œuvres qui suscitent à une patrie de se joindre pour un intérêt commun, mais on a aussi la création d’un ennemi commun. Cet esprit est présent surtout dans les plusieurs hymnes. Dans « La Marseillaise », par