Si je me permets de vous écrire cette lettre, Monsieur le Maire, c’est pour vous témoigner ma considération et ma gratitude pour le chaleureux accueille que vous m’avez fait un jour, mais c’est aussi pour vous parler d’une situation inique qui menace de mettre à mal votre réputation.
En effet le fléau ravageur du travail des enfants nous préoccupe. Lors de votre élection, vous vous étiez engagé à protéger les enfants du monde éprouvant du travail attirant ainsi de plus en plus d’électeur comblés par cette proposition.
Toutefois, nous n’avons à ce jour pu constater aucun réel changement. Je ne peux donc désormais plus me taire, je ne veux plus être complice de cette injustice. Mes nuits son hantées, je ne peux plus m’empêcher de penser au bras endolorie par le travail à l’usine de ces pauvres enfants il est donc de mon devoir de révéler cette affaire au monde entier. C’est donc à vous Monsieur le Maire que je viens dénoncer les causes majeures de votre échec.

J’accuse l’état d’être l’ouvrier néfaste de cette injustice. En fermant les yeux sur les agissements méprisables de certains hommes peu scrupuleux il m’apparaît comme un borgne qui de son œil saint se plait à regarder les atouts de la nation, et de l’œil écorché les conditions de travail de ces enfants.
J’accuse le système scolaire d’être un monument d’avidité et d’incompétence qui aime recevoir mais qui n’aime pas donner en retour.
J’accuse les si merveilleuses familles de ces enfants de ne pas les encourager à aller à l’école profitant ainsi de leurs argent si durement gagner
J’accuse les enfants, de penser que notre monde est un monde simple et parfait ou le travail à l’usine est un mode de vie banal
Je comprends tout à fait que ces accusations peuvent vous paraître injurientes, mais n’éprouvez-vous donc pas de la compassion pour ces enfants, ne ressentez- vous pas le besoin de leurs venir en aide, si votre réponse est négative, il est inutile de me répondre.
Veuillez agréer Monsieur le