Lettre à ménécée, epicure (question+synthèse)

2488 mots 10 pages
(noté 17/20 par mon professeur) (les questions préparatoires ne figurent pas dans le document parce que je ne les est pas retrouvées, j'ai néanmoins mis les réponses pour une explication rapide de la lettre) (Synthèse de la lettre à la fin)

Les questions préparatoires :

1) Épicure s’adresse de façon universelle aux hommes. Il émet l’idée que la philosophie est intemporelle, on peut et on doit philosopher à tout âge. La philosophie est-un remède pour guérir notre âme « lorsqu’il s’agit de s’assurer la santé de l’âme ». C’est comme un médicament pour guérir les maux. C’est le bonheur ici et maintenant. La philosophie à donc pour but de guérir notre âme pour nous rendre heureux. Le bonheur ne peut-être atteint que par une pratique assidue est dès le plus jeune âge de la philosophie. Car le philosophe sait qu’il n’a rien à craindre de ce qui arrivera, il vit donc heureux.

2) Selon lui les Dieux ne s’occupent pas des affaires humaines. Par conséquent il ne faudrait donc rien avoir à craindre, ni a espéré de leur part. Il dénonce les idées reçues que ceux qui ne philosophe pas propage. Ainsi l’on croît à tord que les Dieux sont responsable de tout les malheurs et de tous les bienfaits. Car personne ne connaît réellement les Dieux, chacun à sa propre conception de la divinité. Dieux est donc différent pour tous, car l’imagination de chacun est différente.

3) Épicure dit qu’il est inopportun de craindre la mort à cause de la douleur que l’on éprouve parce que l’on sait qu’elle arrivera un jour. C’est en cela qu'Épicure dit que cette conception commune de la mort que nous avons, est sans fondement, car nous ne pouvons bien évidemment pas éprouver notre propre mort. Chaque composé matériel est par nature à durée limitée. C’est pour cela qu’il faut pratiquer la philosophie naturel qui nous montrera ce qui est nécessaire au bonheur : ne plus craindre la mort. Il faut relativiser la mort pour être heureux, ne pas la craindre car la mort est justement « l’absence de

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