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L'homme et l'astronaute

2973 mots 12 pages
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Introduction : Entre 1979 et 2011, la culture américaine change constamment. Chez l’Homme, la guerre, le capitalisme, la quête de soi et la religion transforment sa mentalité par l´illusionnisme des années 1970 puis l’asphyxie par le vide des années 2000. S’accommodant dans l’incertitude, l’Homme réfléchit, il reflète le passé et pressent le futur en ayant comme géhenne son rôle dans l’univers. S’inspirant de ces expériences et des mésaventures ayant bouleversé le monde lors de cette …afficher plus de contenu…

Les deux astronautes sont éveillés, nostalgique et ils sont ramenés à la nature. Ce qui suit sont des réflexions sur la nature de la condition humaine. En entendant le son de voix humaine celui-ci dit: (p. 44) «je suis heureux ». En voyant ceci le narrateur reflète de façon intra personnelles en posant une multitude de questions sur le propos de son équipier, « Comment cela il est heureux? Le bonheur n'est-il pas totalement en dehors de notre code de référence? Comment peut-il penser qu'il soit possible d'être heureux ici? » Ceci amène le procédé de l’insistance, puisqu’avec la répétition de questions on veut mettre l’accent ou d’insister sur le sens des mots et apporte une argumentation de la part du narrateur à propos de la phrase …afficher plus de contenu…

La vie ne peut pas reprendre tant qu'une explication satisfaisante n'a pas été trouvée. Ce moment, arriver à l'improviste, vient briser la continuité ordonnée de la routine de l’homme, l’amenant à réfléchir sur le sens des choses, pour trouver la solution accommodante. Le narrateur (je) discute, suite à l’événement, avec une personne dont on a peu d’informations et celui exprime « je suis assise là à me répéter que les éléments sont indiscutables. La voiture, l’homme, la mère, l’enfant. Voilà les éléments. Mais comment ces éléments s’agencent-ils entre eux ? Parce que maintenant que j’ai eu le temps de réfléchir, il n’y a pas d’explication.» (p. 66). Ici, Don DeLillo veut se pencher sur l’enjeu de la quête identitaire, en effet en analysant la séquence et les éléments formant le crime, le coureur cherche à donner une identité et à comprendre le raisonnement derrière le crime en oubliant par le fait même la sienne, son

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    Dans une première partie, « Mon identité, mes appartenances », il cherche à comprendre pourquoi tant de personnes commettent aujourd'hui des crimes au nom de leur identité religieuse, ethnique, nationale ou autre et savoir s’il en a toujours été ainsi ou s’il existe des réalités spécifiques à notre époque. Il définit d’abord l’identité comme ce qui fait que je ne suis identique à aucune autre personne : ainsi il donne l’exemple d’un Bosniaque qui dans les années 1980 aurait fermement réclamé être yougoslave avant tout et qui au cours des années 1990, soit pendant la guerre, aurait spontanément affirmé être musulman, bosniaque…Aujourd'hui enfin, il se dirait bosniaque puis musulman. Pour l’auteur, si l’identité de chaque individu est faite de multiples appartenances, elle ne fait cependant qu’une et il suffit qu’une seule appartenance soit touchée pour que ce soit toute la personne qui s’en trouve affectée. Il souligne également que l’on a souvent tendance à se reconnaître dans son appartenance la plus attaquée, et ce n’est donc pas spécialement l’identité nationale, ethnique ou religieuse qui prédispose au meurtre.….

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  • ) L'artiste peut-il délaisser toute technique ? (non mais est-il un technicien pour autant ?)
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  • Commentaire compose : extrait d’enfance de n. sarraute
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    Commentaire composé : Extrait d’Enfance de N. Sarraute Cet extrait de texte est tiré de l’autobiographie intitulé Enfance écrit par Sarraute qui fut publié en 1983. Cette autobiographie raconte et décrit son enfance au début du 20éme siècle. Durant cette extrait, Nathalie Sarraute nous décrit son enfance difficile chez sa tante qui est enfaite la seconde femme de son père. Cette enfance difficile est notamment du à l’absence de sa mère biologique et du mauvais traitement de sa tante, Véra.….

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  • Loi c-10
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    Donc selon moi, la baisse de crimes aurait dû montrer au gouvernement que les jeunes commettent de moins en moins de délits. Finalement, je dois dire que, personnellement, je suis pour et contre la loi C-10. Puisque, oui les jeunes délinquants on les droit d'essayer de se refaire une vie, mais ils n'ont pas le droit d'enlever la vie de celui qui était heureux et de s'en sortir sans avoir de grosses sentences. Même s'ils sont mineurs, ils ont à leurs tours, anéanti la vie de plusieurs personnes, y compris la….

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    », Desproges répondait « oui, mais pas avec tout le monde. » Beaucoup pense que l’on peut rire de tout à partir du moment où on fait attention à la situation dans laquelle on se trouve. Nous pouvons faire rire des personnes sur des choses tristes en les tournants d’une façon légère, humoristique. Rire de quelque chose permet aussi parfois de dédramatiser, d’alléger l’événement.….

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    Ce serait donc un personnage altruiste veille à avoir un comportement en conséquence. Un comportement d’un grand de la cour, d’un « honnête homme », c’est-à-dire un homme aux manières distinguées, au langage distingué : « il a une grandeur, des alliances, une charge, une dignité : il est médaillé (« mon ordre, mon cordon bleu »). L’objet d’une déconstruction Par la modélisation de l’énoncé le concernant : « si l’on en croit sa gravité et l’élévation de sa voix » : l’auteur remet donc en question cette gravité et cette élévation de voix.….

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    Sans le repos qu’il procure, comment pourrions-nous continuer à travailler ? Mais si nous nous divertissons en pensant à son utilité pour le travail, nous sombrons dans l’ennui, tellement cela nous semble absurde. L’art, sans doute, peut nous faire oublier ce cercle. D’autres fins pourraient lui être assignées : éduquer agréablement, ouvrir l’esprit, embellir l’environnement etc.. Autant de critères possibles pour adresser reproche d’inutilité, non pas à l’art en général, mais à ces œuvres, ou à ces artistes qui exposent d’étranges objets dont on ne comprend ni le sens, ni la fonction, et qui grèvent les finances publiques, et enlaidissent le paysage urbain. Mais là n’est pas le problème : nous vivons dans un pays libre, et la liberté publique se reconnaît aussi à la liberté laissée aux artistes de créer selon leur imagination !….

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    Il est bien vrai que celui qui rend à chacun le sien par crainte du gibet agit par le commandement d'autrui et est contraint par le mal qu'il redoute ; on ne peut dire qu'il soit juste ; mais celui qui rend à chacun le sien parce qu'il connaît la vraie raison des lois et leur nécessité agit en constant accord avec lui-même et par son propre décret, non par le décret d'autrui ; il mérite donc d'être appelé juste. mouvement argumentatifs du texte et thése….

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