Libéralisation des universités Dernièrement l’actualité a énormément parlé des mouvements de grèves des étudiants français qui protestent contre le projet de loi relatif à l’autonomie financière des universités. C’est un sujet très controversé car les avis sont partagés. J’ai pris connaissance de plusieurs études, réalisées par des groupes indépendants qui nous montrent que 35% des sondés pensent que cette réforme aura un effet positif sur le développement des universités par rapport à leur concurrence au niveau mondiale. D’autre part 25% des sondés pensent que cette loi aura un effet négatif car elle risque de faire augmenter les frais d’inscription, la sélection des étudiants avant leur première année. Seulement 7% se disent incapables de se prononcer car ils ne connaissent pas assez bien la loi. J’ai étudié cette loi et cela m’amène à penser que cette réforme est nécessaire car j’en ai conclu que l’autonomie des universités est un investissement sur l’intelligence et sur la qualité de nos ressources humaines. Pour cela je suis prêt à affirmer qu’il est nécessaire de donner les moyens aux institutions d’investir dans la recherche, l’enseignement et l’innovation. Je sais également que les opposants à cette réforme la craignent car lorsque les gens entendent les mots « liberté et responsabilité des universités », ils pensent automatiquement au libéralisme économique et donc aux mots « dangers et inégalités ». Or je traduirais ces termes plutôt par « initiatives et opportunités » pour les établissements. Un autre reproche que les réfractaires de ce projet pourraient nous faire est le fait qu’il est impossible d’anticiper les effets que peut avoir l’application de cette loi. A cela je leur répondrais que jamais nous n’avons pu prédire l’effet que peut avoir une réforme sur la société. A cela seul l’avenir pourra nous répondre. (Mais qui ne tente rien, n’a rien !) Un troisième reproche des opposants pourrait être donné par un exemple : celui du