Liberté
Analyse marxiste Dans une économie capitaliste, la force de travail est une marchandise comme toutes les autres. Elle s'achète au prix du salaire, et sa valeur dépend de l'état du marché du travail. Plus il y a de chômeurs, plus la force de travail est dévaluée, suivant la loi de l'offre et de la demande. La richesse dépend de la liberté des échanges Pour le libéralisme moderne, c'est dans les échanges que se construit le bien commun. Il rejette toutefois l'idée d'une organisation «par le haut» du travail et des échanges.
b.L'homme tire de ses échanges avec autrui tout ce qui lui manque. Il échange des mots, des choses, des sentiments, des services, et ainsi ne cesse-t-il d'enrichir sa propre existence. Si échanger c'est donner en vue de recevoir (réciprocité qui fonde les échanges), tout échange est, par définition intéressé. Or, s'il y a un ou des intérêts(s) à échanger, c'est qu'on suppose qu'on peut en tirer un certain profit ou encore un gain. On échangerait donc dans le but de gagner, c'est-à-dire posséder ou s'approprier ce dont on était privé.
Mais si échanger, c'est gagner,