Liberté, égalité, fraternité
J'ai l'honneur de prononcer ce discours, aujourd'hui 8 Mars, journée internationale de la femme, je tiens à m'adresser solennellement à tous les représentants présents aujourd'hui car je porte en moi la voix de chaque femme. Mes trois premiers mots, symbole de la république française doivent éveiller en chacun d’entre vous le retard que subissent les femmes dans ces trois domaines. En effet quel que soit l’endroit dans le monde, il y a une femme privé de sa liberté, il y a une femme que ne l’on traite pas avec égalité et une autre pour qui le mot fraternité n’a aucun sens.
De tout temps, depuis l’antiquité, des femmes de tous les âges, de toutes les nationalités, de toutes les religions se sont battues pour leurs droits. «Le sexe faible » comme le nomme certaines personnes n’a t’il pas donné naissances au plus grands hommes et aux plus grandes femmes de cette planète ? Intéressez vous et vous constaterez comme moi même, qui suis là, face à vous, pour défendre ces femmes. L’homme qui ne traite pas la femme comme son égal n’a t’il pas de mère ? Je dédie ce discours à toutes ces femmes qui se sont battues pour leurs droits, les plus connues comme les plus obscures, à toutes les femmes qui souffrent, à celles qui se battent et celles qui ont perdu leur vie pour la cause féminine. Prenons exemple sur Louise Michel et Georges Sand !
Mesdames et Messieurs les représentants, honorer la mémoire de ces femmes pour que leur combat continue. Je vous demande à tous, en temps que femme libre que je suis, de veiller dans vos pays respectifs de défendre les femmes face à leur oppresseurs. Vous avez pour devoir d’accomplir cette tâche qui sera à la fois noble et compliquée. Je vous demande de réagir pour les femmes contres ces discrimination afin que l’égalité soit affirmée et concrétisée.
La différence physique entre l’homme et la femme ne justifie pas la différence de traitement. La femme est l’avenir de l’homme ! Et même dans les pays avancés