liberte
Autrui est donc à la fois une limite et une condition à ma liberté, puisque c’est par lui que je pourrais intégrer la société, même si cela doit se traduire par des conflits perpétuels.
La relation avec autrui, même si elle est emprise de violence et de politique, semble être donc une condition nécessaire à la liberté de l'homme. Il semble pourtant réducteur de ne considérer la relation entre moi et autrui que par les formes de la violence et du pouvoir. N'y a-t-il pas d'autres moyens plus humains pour qu'autrui et moi atteignons cette liberté?
Certes, la loi m’empêche de faire tout ce que je veux, mais, surtout, elle me protège des empiétements de la liberté d’autrui sur la mienne. La loi favorise plus ma liberté qu’elle ne la limite. C’est une contrainte libératrice. Sans loi, il n’y