Liberté philo
I/ Roman réaliste
-Encadrer le récit dans un univers réaliste (descriptions précises)
-Lieu réel (salle de théâtre des variétés)
-Référence à l’Exposition universel en 1867
-Personnage principal : Nana
-Valorisation de l’espace : découverte des lieux en même temps que le spectateur
-Trouble : l’incipit prend la forme d’une scène d’exposition
II/ Satire sociale
-Le public reflète la société sous forme de satire
-Le théâtre = métamorphose du monde
-Zola perd le lecteur avec le CL du théâtre mais bordenave ramène le lecteur en désignant son théâtre par « bordel ». C’est le porte parole de l’auteur avec un vocabulaire très cru.
-Présence de codes mondains (arriver en retard)
-Bordenave apparait comme un proxénète
-Théâtre peu entretenu, perd sa splendeur. Il rassemble toutes les classes sociales (CL dévalorisation)
Emile Zola, « Alors Nana causa…en politique », Nana
I/ Un nouveau portrait de Nana
-Nana évoque son enfance misérable mais refuse aux convives de la renier bien qu’elle-même renie ses origines.
-Nana renie ses origines et fait « la maîtresse de maison »
-Nana condamne la littérature réaliste et idéaliste et défend la littérature romantique
-Zola présente Nana comme une inculte qui ne connaît rien à son art (ironie)
-Nana veut de la littérature légère qui plaît aux femmes. Critique de Zola : femmes niaises, incultes.
-Nana dit du naturalisme : immonde, fausse prétentieuse.
-La lecture ne fait pas partie de son éducation, elle fait la mondaine, lit le « figaro ». Elle joue encore un rôle : théâtre des illusions.
-Contraste entre le rôle qu’elle doit jouer et son langage (« jolie ordure » oxymore)
Le naturel revient au galop. Violence verbale (« répugnance », « immonde » hyperbole), elle ne maîtrise pas ses mots et ne peux pas échapper à ses origines.
-Ton catégorique (exclamations l9)
II/ Le roman comme forme d’argumentation implicite
-Condamnation de la littérature