L'ironie dans voltaire
Pour la première élocution de l’esclave « J’attends mon maître, monsieur Vanderdendur, le fameux négociant », le nom « maître » précédé du déterminant possessif « mon » et du verbe « attends » montre que l’esclave est résigné car il ne peut pas partir de lui même comme un chien et son maître. Tout au long du texte le discours de l’esclave est aberrant, il explique qu’il peut se faire couper les jambes et les mains pour qu’il ne puisse pas s’enfuir, « Quand nous travaillons au sucreries, et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main ; quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe », ce discours est vraiment résignant et étonnant. Ce pauvre homme répond « je me suis retrouvé dans les deux cas » cette phrase au présent de vérité générale mais aussi « c’est a ce prix que vous manger du sucre en