Littérature engagée à travers une chanson
Aujourd’hui, la littérature engagée peut se retrouver sous différentes formes : en chanson, en nouvelle, en pièce de théâtre… Plus particulièrement, Manhattan-Kaboul ; une chanson composée par Jean-Pierre Bucolo et interprétée en duo par Renault et Axel Red ; est une chanson dont on peut dire que le texte entre dans la catégorie de la littérature engagée. Cette chanson à été écrite à la suite des attentats du onze septembre 2001 aux Etats-Unis et de la seconde guerre d’Afghanistan.
Tout d’abord, c’est Renault qui a écrit les paroles définitives de la chanson. C’est un texte qui dénonce toutes ces guerres et qui dénoncent surtout le fait que des gens soient attaqués et visés, des gens innocents. Il remet aussi en cause la puissance américaine et l’intégrisme musulman. Cette idée était aussi défendue par Axel Red. Etant proche, Renault l’a choisie donc pour faire son duo avec elle.
Le refrain[1] de la chanson est explicite dans l’explication de la thèse. L’auteur rejoint deux mondes que tout oppose incarnés par deux personnes innocentes au destin lié : la guerre et la violence.
Dans la suite de du texte, la deuxième partie de la thèse est mise en évidence.
La phrase Moi, plus jamais esclave des chiens dite par la petite afghane dénonce donc les excès de l’Islam et surtout l’intégrisme musulman. On s’aperçoit, en continuant la chanson, que ces deux personnes sont mortes avec leurs rêves et leurs idéaux mais que représentent t’ils face à pour lui la plus grande puissance mondiale et pour elle face à l’une des trois plus grandes religions du monde, l’Islam ?
Les paragraphes de ce texte n’ont pas été dispersés au hasard. Au début de la chanson, l’auteur nous introduit deux personnages vivant des vies opposées. Ensuite, viennent les catastrophes avec leur violence. C’est à ce moment que le refrain commence à prendre son sens. Puis, vient le pont et enfin les deux derniers couplets avec la thèse.
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