Thérèse Raquin est le troisième roman de l'écrivain français Émile Zola. Le livre fut publié à Paris sous forme de feuilleton dans le journal « l’Artiste », puis fut rédiger en volume à la librairie internationale, et ce en 1867. Ce roman fut par la suite adapté en une pièce de théâtre en 1873. Le roman permet à Emile Zola de se faire connaitre, et ce par le scandale que fait éclater ce livre dans la communauté parisienne. Thérèse Raquin est de plus précurseur du naturalisme développé plus tard dans le cycle des Rougon-Macquart. (En effet on remarque les grandes scènes descriptif d’Emile Zola, surtout durant le meurtre de Camille et à la morgue. On s’aperçoit donc qu’Emile Zola s’est documenté sur tout ce qui se prête à se livre, afin de le rédiger avec une précision étonnante.)
Résumé :
Élevée par sa tante qui tient une petite mercerie dans le fond d'un passage triste et sombre, (le Pont-Neuf) Thérèse, jeune femme ayant pour parents une Africaine et un Soldat Algérien, est vouée à épouser son cousin Camille Raquin. Chétif, hypochondriaque et de faible santé, Camille, dès le soir de ses noces, déçoit Thérèse, qui, sans se l'avouer attend désespérément l'amour.
Un jour, Laurent, peintre raté, entre dans la boutique des Raquin. C’est un ancien camarade de Camille. Il vient pour participer aux parties de domino que se disputent le mari de Thérèse, son chef de bureau Grivet et le commissaire Michaud, et ce tout les Jeudi soirs. Laurent, étant de nature bel-homme avec une forte carrure, séduit immédiatement Thérèse. Ce dernier quant à lui n’est pas insensible non plus à la séduction employé par la jeune femme. Ils deviennent amants, mais la présence continuelle et pitoyable de Camille les gênes. Ils voudraient être enfin libres, et ainsi se décident à supprimer Raquin. Un beau dimanche, sous prétexte d'une partie de canotage, ils précipitent Camille dans la rivière et, sans pitié, le noie. Leur crime accompli, aussitôt le remord leurs prends. Remord ravivé