Le livre est un document écrit, support de l’écriture. C’est dans un article du journal Le Monde du 28 Novembre 1998 que Jean-Louis Lisimachio en fait l’éloge. En effet, il explique que c’est un « instrument prodigieux ». Cependant, aujourd’hui, il se trouve en concurrence avec les nouvelles technologies, en pleine expansion. Du coup, peut-on toujours croire que le livre est un outil extraordinaire ?
Pour répondre à cela, nous verrons les différents aspects du livre : pédagogique, culturel et enfin distrayant.

Tout d’abord, le livre présente une visée pédagogique, didactique.
Il s’agit d’abord d’un pilier de l’individu : il participe à l’éducation et à l’évolution de l’enfant. En effet l’écriture ainsi que la lecture permettent à l’enfant de développer ses facultés mentales, sa réflexion personnelle, son interprétation. De plus, en lisant, nous progressons en orthographe. En effet, inconsciemment notre cerveau enregistre l’orthographe des mots. D’autre part, des livres sont ludiques et permettent à l’enfant d’apprendre tout en s’amusant, comme Astrapi ou Okapi.
Le livre nous facilite également l’acquisition d’information, d’être au courant de l’actualité. C’est par exemple grâce à la lecture de journaux tels que Le Monde ou encore de journaux à visée politique comme Le Canard Enchaîné, que nous nous informons du monde qui nous entoure, de ce qui s’y passe. De là, nous nous sentons plus concerner par les problèmes de société, et c’est ainsi que nous pouvons agir. Par ailleurs, les livres de témoignages rapportent des faits. Ils sont importants puisque certains dénoncent des évènements sérieux comme le mariage forcé, le viol, l’inceste ou encore la violence conjugale. Par exemple, mariée de force à l'âge de 10 ans, violée et battue par un homme vingt ans plus âgé qu’elle, Nojoud Ali a eu le courage de demander le divorce. Elle l'a obtenu et veut que son histoire parcourt le monde pour critiquer les pratiques du Yémen, mais aussi dans d’autres