Loisir et travail sont dans un rapport de dépendance réciproque. La force de travail se reconstitue, en partie, dans le loisir. Mais la force de loisir aujourd'hui nécessaire a aussi des limites, et suscite un besoin de reconstitution, dans le travail. Force de travail et force de loisir se reproduisent réciproquement, que ce soit dans l'alternance de la journée, de la semaine, des petites ou des grandes vacances. Les agents sociaux l'expriment d'ailleurs banalement dans la succession des contentements : contentement de partir en vacances, par exemple, mais contentement d'en finir, ce fameux contentement de la reprise. Le loisir prend parfois des allures impériales, mais demeure dépendant, prisonnier d'une structure d'effets réciproques. Si la force de loisir n'est pas illimitée, si elle s'épuise, c'est que, s'exerçant dans un temps libéré de contraintes exogènes dont les individus ont la libre disposition, les activités de loisir sont entièrement à leur charge décisionnelle, donc psychologique : elles pèsent. Loisir et travail sont dans un rapport de dépendance réciproque. La force de travail se reconstitue, en partie, dans le loisir. Mais la force de loisir aujourd'hui nécessaire a aussi des limites, et suscite un besoin de reconstitution, dans le travail. Force de travail et force de loisir se reproduisent réciproquement, que ce soit dans l'alternance de la journée, de la semaine, des petites ou des grandes vacances. Les agents sociaux l'expriment d'ailleurs banalement dans la succession des contentements : contentement de partir en vacances, par exemple, mais contentement d'en finir, ce fameux contentement de la reprise. Le loisir prend parfois des allures impériales, mais demeure dépendant, prisonnier d'une structure d'effets réciproques. Si la force de loisir n'est pas illimitée, si elle s'épuise, c'est que, s'exerçant dans un temps libéré de contraintes exogènes dont les individus ont la libre disposition, les activités de loisir sont entièrement à leur