Loisirs des jeunes
Le sport
D’après l’auteur, le sport est une activité caractéristique d’une période de la vie à la différence d’autres qui peuvent être pratiquées plus longtemps.
Il veut dire par là que par exemple ; la pêche, le jardinage, sont des activités qui peuvent se pratiquer tout au long de la vie d’un être humain contrairement au sport.
Le sport prend son essor à l’adolescence et se pratique tout au long de la jeunesse d’un individu.
Georges Lerbet, afin de faire son constat, à interrogé un certain type de population : les lycéens, collégiens, apprentis et agriculteurs. Il s’est rendu compte que le sport avait une place très restreinte.
Avant de commencer, je tiens à préciser que dans le chapitre de cet ouvrage, l’auteur n’a retenu que le sport en tant que conduite, faire du sport, et non en tant que sport d’information (lecture de journaux sportifs, vision des matches à la TV).
L’attitude
L’auteur a remarqué que les jeunes gens et les jeunes filles manquent de dynamisme physique et préfèrent la participation symbolique.
Son étude montre que ce sont les garçons qui sont le plus attirés par le sport que les filles.
La dimension habitat est significative. En effet, à partir d’un échantillon de population valable (les apprentis) il constate une attirance pour le sport plus favorable pour les gens des villes.
De ce fait, il émet l’hypothèse selon laquelle une des causes de ces différences est le renforcement des attitudes par la pratique. Or, la pratique est étroitement dépendante de l’état de l’équipement des stades, piscines, pistes… C’est pourquoi, le sous-développement des infrastructures sportives dans les campagnes amènent à penser que la pratique sportive est moins importante que dans les villes.
De plus, l’appartenance socioprofessionnelle est liée aux attitudes. Les lycéens sont plus favorables à la pratique sportive, viennent ensuite les techniciens et les apprentis et enfin les agriculteurs.
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