Lol kaka de rire
LE POP ART
On y trouve des artistes post modernistes (pas contemporain), influencés par les dadaïstes.
La modernité interroge l’art et le réel.
50’ : œuvres abstraites, peintures élitistes, il faut les codes pour les lire (paradoxe : art = langage universel ?)
Fin 50’ : Pop art. On pense à un art populaire qui intéresse le public. Enseigner l’homme de ce qu’il est. Prendre des objets de grande consommation pour les transformer en œuvre d’art : ammener le public à l’art.
Méthode : utiliser des choses simples, évidentes (drapeau, comics, « Love », dollar) combinés à la peinture.
Attention : à la base, le pop art ne se veut pas critique du monde de consommation, ils effectuent un mirroir de leur société en utilisant les symboles évidents.
Les américains travaillent surtout sur l’image tandis que les européens (Nouveau réalisme) utilisent des objets. C’est un questionnement sur l’art et le langage.Paradoxe : l’art contemporain et le conservateur de musée. L’art contemporain tire des objets du réel (ready made penser au fait que le monde industriel sature la vie d’objets : role de l’artiste : les choisir ) et donc ce sont des œuvres destinées à mourir, non concevables.C’est le spectateur qui fait l’œuvre. Nous regardons l’art avec certains critères artistiques. Une réalité transformée en œuvre d’art. A partir du réel on parle d’art.
ARTE POVERA
L’art dépouillé.
En Septembre 67, le critique d’art Celant utilise le terme d’Arte Povera pour l’exposition des jeunes artistes italiens. « Ces travaux travaillent à la déculturation et l’appauvrissement de l’art ». Tendance issue du Pop art à descendre de la tour d’élitisme. Des œuvres immédiatement compréhensibles. L’art et la vie intimement liée.
Œuvres d’arts faites avec des choses extrement simples : air, terre… Ils exaltent le caractère empirique du matériau.
En Janvier 67, groupe BMPT (Buren, Mosset, Parmentier, Toroni) expose au salon de la jeune peinture de Paris. L’acte de peindre est