Sollicité par Coupeau, Lantier se rapproche de plus en plus, se fait bien voir des ouvrières, des voisins et de la famille par son allure d’ancien patron (d’après ses récits) et de petits cadeaux. Il dédaigne le travail et prétend avoir une affaire en vue. Puis Lantier parle d’habiter le quartier, trouve la boutique de Gervaise parfaite, et Coupeau finit pas lui proposer d’habiter chez eux. Lantier emménage donc chez les Coupeau, Gervaise retrouve avec angoisse la malle qu’il avait quand il était parti au premier chapitre. Cette malle contient plein de livres. Lantier et Poisson s’opposent sur la politique, en buvant tous les deux chez Gervaise. Goujet propose une place pour Etienne a Lille, ce que Lantier, père de l’enfant, accepte sans hésiter. Lantier finit par prendre pension chez les Coupeau, c’est-à-dire à manger chez eux à tous les repas. Il se mêle des affaires de la famille et réclame aux Lorilleux une pension pour Maman Coupeau. Mais Lantier ne paie rien et Gervaise se retrouve en fait avec deux hommes à entretenir. Gervaise ne tient plus aussi bien ses ouvrières et les clientes s’en vont peu à peu.
Goujet propose à Gervaise de partir avec elle, Gervaise refuse pour ses enfants, parce qu’elle est mariée et par peur de la culpabilité. Gervaise prend toute la nourriture, le vin, partout, à crédit et sans vraiment compter. Coupeau et Lantier grossissent, bien nourris dans cette débâcle. Le quartier médit sur ce ménage à trois mais s’y habituent. Lantier devient de plus en plus hardi avec Gervaise et tout l’entourage pousse Gervaise à la