Introduction Après le succès immédiat de sa début de carrière avec Contes d'Espagne et d'Italie, le poète et dramaturge Alfred de Musset signe l'un des drames les plus célèbres du théâtre romantique avec Lorenzzacio en 1834. Lorenzo, bien décider à liberer Florence de la tyrannie d'Alexandre de Medicis, projette à la fin de l'oeuvre, d'assassiner ce dernier. Il est seul et angoisser, il doute de sa préparation du meurtre et ressent le besoin de s'echapper. Sa vision du meurtre et son trouble psychologique lui font répéter les moindres détailles pour le crime parfait. Nous verrons tout d'abord sa vision vituelle du meurtre dans ce long monologue où chaque éléments prend son importance puis son trouble psychologique dans un discours hésitant et sa présence seul, dehors, en pleine nuit. Lorenzo se projette le meurtre et veut trouver des réponses à tous les problèmes qu'il serai susceptible de rencontrer. Il visualise une mise en scène avec les objets et accessoires. Pensant en premier lieu à la lumière, les paroles de Lorenzo "Catherine passe pour très vertueuse" nous démontre le motif pour que la chambre nuptiale ne soit pas éclairer. Cela serai coutume pour une nouvelle mariée. Il prend ensuite peur que le Duc porte une côte de maille, on peut le voir avec ses expression "pourvu que" ou "maudite invention". "il posera son épée là - ou là" ses paroles montre que Lorenzo tente d'imaginer où le Duc poserait son épée, il se remet en question, fais des suppositions, finit par "oui, sur le canapé". Pour le problème du baudrier du Duc il imagine la positions et les actions des personnages. L'action du duc est importante, "s'il pouvait lui prendre fantaisie de se coucher", Lorenzo pense au meilleur des cas, cela l'amenne a se questionner denouveau "Couché, assis, debout ?" "assis plutôt". Lorenzo passant en second en entrant dans la pièce, il ne veut pourtant pas qu'il lui tourne le dos, Lorenzo tient à le tuer de face.