Louis aragon
Ce texte est de Louis Aragon, de genre poème, il a été écrit en 1943, c'est à dire qu'il faut le placer dans le contexte de la Seconde Guerre Mondiale : misère, mortalité forte, et surtout résistance.
Il faut savoir qu'Aragon fait parti de ces nombreux artistes engagés pendant les guerres, il est donc favorable à la résistance, et aime sa patrie. Sous l'identité de Jacques d'Estaing, Louis Aragon publia ce poème le 14 juillet 1943, dans l'Honneur des Poètes. En hommage à Gabriel Péri, résistant Français, la ballade de celui qui chanta dans les supplices relate l'histoire d'un résistant prisonnier, torturé par les soldats allemands. Ce poème recèle un profond mépris pour les collaborateurs, traîtres à leur patrie, et un véritable respect pour les résistants morts pour la France, hommes et femmes qui se sont battus pour l'avenir de leur pays. Tout d’abord nous allons aborder un la résistance, puis un poème militant.
PREMIERE LECTURE : Le rythme lent et las du texte est exagéré. De plus, un refrain est répété inlassablement : "et s'il était à refaire [...] et parle des lendemains" ce refrain change au fur et à mesure du texte. Venant de la pensée de l'homme en prison.
Cependant, on apprend qu'à la fin du poème, l'homme est heureux de mourir criblé de balles allemandes : "il chantait lui sous les balles", en partie marqué par la prépondérance des termes musicaux : "chantent", "chantait", "chanson", "la Marseillaise".
Il y a donc deux "rythmes" qui reviennent dans ce poème : un fredonné par le prisonnier, et un autre par les hommes de dehors. Aragon s’emploie à bien associer les communistes au combat national de résistance contre les Allemands, le pacte soviétique-allemand ayant auparavant créé une grave confusion.
DEUXIEME LECTURE :
Les deux premières phrases du refrain, répétées comme pour redonner courage « Et s’il était à refaire, je referais ce chemin ».
Ainsi, nous pouvons en déduire que cet homme est un résistant, notamment par