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Sur le document 3 p.49, nous pouvons remarquer que ce document représente un extrait d’une pièce de Théâtre d’Aristophane nommée « L’assemblée des femmes » écrite vers 392 av. J.-C., cet extrait est une comédie Théâtrale qui met en scène de jeunes travesties campagnardes, et citadines, dans le but d’une prise en main de la politique de la cité Athénienne. Nous pouvons aussi voir que cet extrait est accompagnée d’une statut : Une copie antique du buste d’Aristophane, faite au Vé siècle av. J.-C.
Ces femmes se rassemblent donc à l’Agora. L’Agora est une place destinée à la réunion de tous les hommes libres, citoyens Athéniens. Cette réunion nommée « l’Assemblée » est une volonté de gouvernance qui guide alors – Hommes libres et citoyens - dans le choix des lois.
Ainsi, on remarque un acte de corruption provenant d’hauts responsables qui incitent les citoyens à garder leurs magistrature : «Allons à l’Assemblée, ô hommes, car le thesmothète a menacé quiconque ne serait pas arrivé très tôt, au tout petit jour […] de ne pas lui donner le triobole » On peut traduire cet acte en une certaine motivation des hauts responsables. En effet, on en déduit qu’Aristophane critique les responsables qui offrent des récompenses : « A présent, c’est un triobole que l’on cherche à recevoir quand on s’occupe des affaires publiques ». Ces récompenses qui deviennent une corruption.
Ces actes intolérables provenant des hauts responsables - en effet, dans une avidité de pouvoir, les hauts responsables corrompent les citoyens. - engendrent un certain danger. Celui-ci que l’on décèle à travers un agissement égoïste, est tout simplement l’édification d’une oligarchie. Une oligarchie qui met en danger la Démocratie