Luc ferry
1ère question :
Comme il est difficile de nous définir, nous nous comparons avec des espèces qui nous ressemblent pour trouver nos disparités avec ceux-ci, et donc notre identité propre.
2ème question:
Le premier critère pour nous distinguer est nos grandes capacités intellectuelles et le second, notre capacité à éprouver des sentiments, des émotions.
3ème question:
Selon Rousseau, l’humain se différencie dans sa capacité à décider de son propre sort, de ne pas dépendre entièrement de ce que son instinct lui suggère de faire pour faire ses choix. Ce fait important permet à l’être humain de progresser et de se dépasser sous plusieurs aspects de sa vie, contrairement aux autres animaux qui sont limités par leur instinct et dont l’évolution est stagnante. (66 mots)
4ème question:
L’auteur croit que l’humain est le seul être capable de causer consciemment et gratuitement le mal et à en éprouver du plaisir. Les animaux peuvent causer le mal autour d’eux, mais contrairement à nous (et là est toute la différence), ils obéissent aux règles que la nature leur a imposées pour survivre, ils y sont contraints. De plus, ils ne sont pas conscients que ce qu’ils font est mal, ils n’ont pas la volonté d’être méchants. C’est pour cela qu’on ne peut pas les accuser d’être sadiques, même si cela peut le sembler à nos yeux. (94 mots)
Pour ma part, je suis d’accord avec les propos de l’auteur, seuls les hommes peuvent être sadiques.
Le premier argument qui appuie la position de l’auteur est que nous sommes la seule espèce à faire le mal même si cela ne nous apporte rien du tout. Dans certains cas, faire du mal peut paraître tout à fait inutile au point de vue pratique, voire anti-productif. Les animaux, eux, ont toujours des raisons d’agir ainsi (survie, apprentissage, etc.). Nous sommes aussi les seuls qui sont en mesure d’éprouver de l’empathie pour un autre être vivant. Il est donc insensé d’accuser un animal de diabolique dans cette