Lucrèce, Lucrèce, acte iii scène 3
35) + enchaînement de phrases juxtaposées courtes → contrastent avec la tirade de Lucrèce = « C'est dit [...], il faut mourir » (I. 35-36).• Vouvoiement + appellation « madame » en rupture avec le tutoiement utilisé par Lucrèce pour se rapprocher de son fils - › désir de Gennaro de mettre à distance cette femme.Rupture totale de la règle de bienséance, propre au théâtre classique→ combat entre une femme et un homme qui tente de la poignarder→ didascalies qui soulignent la violence de la scène : « se débattant et lui retenant le bras » (I. 37), « Il la frappe » (l.44). → exclamations tragiques de Lucrèce qui amplifient la crise : « Grâce ! Grâce ! Encore un mot ! » (I.37-38), « Pardon » (l. 40), « Au nom du ciel ! » (I. 42).• TOUTEFOIS, répétition trois fois Gennaro de la négation « Non » ) = rupture du dialogue …afficher plus de contenu…
Ici Victor Hugo énonce une crise familiale fortement souligner par une dimension tragique ilmeten scène Lucrèce une mère sans vergogne/ monstrueusequi tententde renouai les liens du sang avec son fils Gennaro qu’elle avait abandonné à la naissance.En plus de cela elle fait empoisonner les cinq amis de Gennaro qui se sont moquer, Gennaro ignorant de la vérité et ominubule par la colère voulaitla tuer.Dans ce scenario les deux personnages sont en pleine crise personnelles qui finis par un dévoilement tragique d’une vérité déchirante.Enjeux + problématique àComment Victor