Léon blum
2- Le document 1 « Un élu communiste en 1920 » a été publié à la même année, alors que la séparation des communistes se faisait savoir. En 1920, Blum a surpris tout le gouvernement en refusant l’adhésion à la IIIème Internationale communiste. (A l’époque il n’était que député de la Seine, il n’était pas encore à la tête de l’Etat). Cette année-là on assiste à un soulèvement communiste de la Ruhr réprimé par l’armée. On signe le traité de Svalbard, de Dorpat, et de Tartu (en Russie soviétique et en Estonie). On voit de nombreuses manifestations chiites à Bagdad, des grèves de mineurs et de cheminots et on proclame même la République en Extrême-Orient. Le Conseil suprême fixe à 100 000, le nombre d’hommes que l’Allemagne peut garder sous les armes. Peu de temps après, Georges Clémenceau démissionne du poste de président de la République après sa défaite devant Deschanel à la présidentielle puis se retire de la politique.
Le second document intitulé « Un écrivain d’extrême-droite en 1935 » a été publié cette même année. En 1935, Blum est le représentant du Front Populaire et réussit à faire accepter ses réformes visant à améliorer la vie des salariés : on accorde les premiers congés payés et essaye de limiter la journée de travail à 40 h. Le Front populaire organisera aussi un défilé nommé « Pain, Paix, Liberté.
Mis à part ceci, bien des décisions ont été prises : La SDN condamne l’Italie pendant que La France lui cède des territoires au sud de La Libye et en Somalie. Les deux pays signent les accords de Rome et forment un front commun avec le Royaume-Uni contre la violation par l’Allemagne