Macroéconomie, investissement et épargne
Lina
HK3
FICHE DE LECTURE
Macroéconomie, consommation et épargne de Patrick Villieu, Repères, La Decouverte, 2002
INTRODUCTION :
Définitions :
La consommation est l’épargne des ménages sont au centre du débat économique contemporain :
On y oppose généralement=> keynésiens (approche par la demande) Classiques ou néoclassiques (approche par l’offre)
Au niveau macroéconomique, la Comptabilité Nationale définie deux notions de consommation : • Consommation effective des ménages= valeur de l’ensemble des biens et services utilisés • Dépense de consommation finale des ménages= dépenses que les ménages supportent effectivement • Consommation effective-consommation finale= dépense de consommation individuelle= transferts sociaux en nature =prestations sociales en nature (remboursement médicaments+ allocations logement…) + transferts de biens et services non-marchand individuels (soins hospitaliers, dépenses de l’éducation nationale…)
De la même manière la CN établit deux notions du revenu : • Revenu disponible brut : dépense de consommation finale des ménages + épargne. • Revenu disponible brut ajusté : consommation effective + épargne
⇨ Epargne (noté S) = partie non consommée du revenu disponible
((Au niveau macroéconomique : S= somme de l’S des ménages, des entreprises et des administrations)
Taux d’S= S brute / Revenu disponible brut
===> problématique : Faut-il relancer la consommation, au risque d’entraver l’investissement par défaut d’épargne, ou doit-on encourager l’épargne pour favoriser les perspectives de croissance et le financement des dépenses futures ?
I-L’épargne, de la perspective classique à la « révolution » keynésienne 1) Deux visions opposées de l’ajustement épargne-investissement
La loi de Say, théorie classique de l’ajustement I-S
Economie les débouchés ne sont pas réduit => la possibilité de toute crise de surproduction généralisée est niée (= pas d’ «