LA RESPONSABILITE’ COLLECTIVE – la part de l’autre. Schmitt-
La responsabilité collective est bien donc un élément de l’Histoire qui trop souvent est négligé par tous ; c'est-à-dire, qu’on a la tendance à se concentrer uniquement sur un aspect ou bien un personnage qui a fait l’Histoire et pas sur une pluralité : ça est ce que Schmitt affirme dans à la fin du livre et à propos de ça, il pose l’exemple emblématique d’ Hitler.
Hitler est souvent considéré comme le créateur du Nazisme et le protagoniste le plus terrible de celle période : Schmitt nous invite à regarder une époque et non pas seulement un homme, une époque faite des peuples, des gens et des décisions qui ont été prises et pas. Il identifie Hitler comme créature et pas créateur du Nazisme, dont il reconnait déjà le terrain fertile en Allemagne, pendant la première moitié du 20eme siècle, en regardant aussi la diffusion de l’ antisémitisme en Europe (cette théorie a été déjà présentée par un des plus influent biographes du dictateur, c'est-à-dire par Ian Kershaw).
En réfléchissant sur ce fait, on peu bien comprendre comme une calamité pareille aie pu s’abattre sur l’Europe, et comme, à la fin, Hitler ne soit que l’expression la plus terrible et dramatique de ‘quelque chose’ qui existait déjà dans la société ; et cette chose se peut bien identifier avec un sentiment d’ hostilité et d’ intolérance au sujet de la ‘question hébraïque’ qui était assez partagé dans la société européenne et plus que jamais dans celle allemande.
Ça est ce qui vraiment compte, selon Schmitt, qui nous décrive un Hitler rapporté à son humanité et pas à son célébrité; or, Schmitt décrit Hitler d’une partie pur la raison que j’ai déjà expliquée, de l’autre pour bannir l’idée que beaucoup de gens se sont fait de ce personnage historique, c'est-à-dire l’idée d’une sorte de monstre, venu par on ne sait où, qui d’un coup se présente sur la scène et bouleverse en pire le destin des certaines gens ; Schmitt nous dit que ça est