Maintenant je pardonne à la douce recit
» (l.1) Cette figure d’opposition nous permet au commencement du poème de nous apercevoir du premier thème qu’il va aborder dans son poème. Cela permet de mieux comprendre le déroulement des vers. De plus, nous pouvons constater que l’auteur continue de pardonner la poésie mais il est de moins en moins intense dans ses pardons. Tel que le démontre ce deuxième oxymore : « Maintenant je pardonne à ce plaisant labeur. » (l.5) Cet oxymore nous permet de voir que l’auteur a aimé faire de la poésie et qu’il ne veut pas nécessairement arrêter d’en faire. Donc au début, il pardonne à la poésie en la décrivant de douce fureur et il termine en la décrivant de plaisant labeur. Enfin, Joachim du Belley certes pardonne à la poésie mais, il lui pardonne progressivement, doucement , au