Maladie génétique
La recherche médicale en génétique Etudes visant à préciser :
- l'existence d'anomalies du génome humain, en en précisant à la fois la nature et la position,
- l'existence de relation entre une maladie et une anomalie génétique,
- l'existence de relation entre une anomalie génétique, même mineure et sans conséquence visible, et un risque accru de présenter certaines maladies,
- comment prévenir ou dépister une anomalie génétique, chez un individu ou plus largement dans la population,
- comment traiter certaines maladies
- soit en corrigeant le désordre métabolique secondaire à une anomalie génétique- soit en tentant de "réparer" directement cette anomalie génétique par le biais de plusieurs disciplines (génétique, épidémiologie…). Afin de pouvoir réaliser des expériences qui amèneront à de futur traitement les chercheurs passent par différent modèles afin d’apprécier au mieux les résultats de leurs recherches. Après l’in vitro les recherches passent à l’in vivo où l’on retrouve deux « objets » d’études : l’homme et l’animal. Une question se pose alors :
Les recherches médicales en génétiques doivent elle se faire sur des modèles humains ou des modèles animaux ? (transparent 1)
Pour répondre à cette question Nicolas, Sarah et moi allons vous présenter tour à tour les avantages et les inconvénients que rencontrent les chercheurs sur ces 2 modèles. (Transparent 2)
Dans un premier temps nous nous intéresseront au modèle humain. les avantages à faire des recherches sur l’homme sont : (transparent 3) le matériel génétique est propre à l’homme « 23 paires de chromosomes ». Chaque espèce possède un génome qui la caractérise. Bien que le génome du chimpanzé ait beaucoup de similitude avec celui de l’homme ces 2 espèces sont belle et bien différentes ce qui a une incidence sur les recherches génétiques. Un génome conservé dans l’espèce humaine (0.4% de différence) travail sur le même support pour tous et résultat applicable sur