Maladie d'alzheimer un libre choix de consentement aux soins
Maladie d’Alzheimer, un libre choix de consentement aux soins ?
Travail de Madame Emilie MARIOT http://www.docteurclic.com/encyclopedie/maladie-d-alzheimer-au-quotidien.aspx
Date de remise du mémoire : 2 mai 2018 - Date de soutenance : 29 mai 2018
Mémoire de fin d’études
Unité d’enseignement 3.4 S6 : Initiation à la démarche de recherche. Compétence …afficher plus de contenu…
» Les soins, au pluriel, représenteraient plus communément les actes à effectuer, tandis que « le soin » prendrait en compte la notion que chaque patient est unique en tant que personne et sa situation de vie.
Le prendre en soin nécessite la prise en compte de la personne dans ses trois dimensions : biologiques psychologiques et sociales. C’est pourquoi prendre soin d’une personne démente, ou ayant la maladie d’Alzheimer n’est pas seulement d’effectuer des soins techniques mais de prendre en compte leur ressenti, leur souffrance, leurs angoisses...
Il est nécessaire de prendre soin de leur état psychique, pour ensuite soigner le physique12. Bien …afficher plus de contenu…
« La philosophie de l’Humanitude est donc un ensemble de « savoir-faire adaptés et positifs » pour améliorer la qualité des soins et le bien-être des résidents. 46»
La relation d’aide avec un patient Alzheimer est donc de prendre en compte le sentiment ou l’attitude de ce patient. L’infirmier est en capacité d’entreprendre une relation d’aide dans le cadre de sa profession, il peut également se former à l’Humanitude. Il doit également être en mesure d’interpréter ou de reconnaître les changements d’attitudes du patient, être en mesure de modifier sa posture, et ainsi, pouvoir prendre en soin cette personne47. Au cas contraire, si ces postures et réflexions ne sont pas