Malebranche
Dès la première ligne de ce texte, Malebranche pose les limites de la nature humaine, ce qui induit dans son point de vue sur l’erreur. En effet, même en supposant l’homme « maître absolu de son esprit et de ses idées », alors là encore Malebranche voit l’erreur comme inévitable dans le premier temps de son texte. Admettre l’existence d’un inconscient dynamique signifie que tout pensées passe nécessairement par une phase inconsciente alors que tout pensées ne devient pas nécessairement conscient. Une partie de l’esprit de l’homme ne parviendra donc jamais à la conscience, d’où l’idée selon laquelle l’homme ne possède pas de contrôle absolu sur son esprit. De même, certaines idées du ça sont refoulées car elles