Management de l’innovation
Invention : il y a une part technique. Les juristes parlent de l’état de la technique. ex : à un moment donné, les brevets… pour qu’il y ait une invention, il faut qu’il y ait une nouveauté (si on a fait une nouveauté découverte depuis les romains, ou préhistoire, ce n’est pas une nouveauté en France). Au Royaume-Uni, délai de 50 ans, après si on remet au gout du jour, alors c’est une invention.
Innovation : elle se rattache à un impératif stratégique. Elle se génère de l’idée jusqu’à sa commercialisation. C’est un impératif stratégique. On peut être dans l’innovation soit en tant que suiveur ou pionnier (premier entrant).
Avantages/inconvénients d’être pionnier :
- Même en cas d’échec, l’innovation permet d’acquérir de l’expérience.
La copie servile : copier sans modification, sans amélioration. Le Japon, dans les années 70, faisait de la copie améliorée : il copiait et améliorait les produits.
L’innovation impérative stratégique.
Environnement incertain : ne bouge plus comme avant. Les cycles ne se répètent plus.
Environnement chaotique :
Importance majeure liée à l’évolution
Il faut adapter son business model par rapport à la cible. Ex : vendre des lampes en Inde pour les pauvres.
L’innovation qui est un process comporte des risques : le taux d’échec dans l’innovation : 1/3
Attention : il faut différencier orientation-produit vs orientation-client.
Aux USA, lors d’un échec d’une innovation, les banques n’hésitent à continuer à financer des entreprises qui n’ont pas réussi dans une innovation, car pour eux, s’ils ont raté, ils ont appris de leurs erreurs donc il y a moins de risques d’échec après.
La matrice BCG :
Les différents types de manager :
- Le réactif (le suiveur rapide) : ne veut pas assumer les risques liées à l’innovation, laisse les pionniers y aller et après, si ca marche, il faut suivre rapidement.
- Le développeur (le prospecteur): une personne qui a énormément d’idées, ils ont une idée toutes