Goodyear roule moins bien que Michelin1
« Le fabricant américain de pneumatiques Goodyear est sorti du rouge en 2011, avec des ventes record. Ses résultats sont toutefois nettement inférieurs aux attentes des analystes. »
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Ce rapport propose une étude de cas concernant une compagnie pneumatique aux prises avec une situation économique instable. À la lecture de celui-ci, je tenterai d’amener des solutions à l’égard de la situation financière à risque dues aux matières premières.

Problématique
Après l’analyse du sujet, la problématique qui en découle serait la volatilité des prix des matières premières n’étant pas prévisibles budgétairement, qui ont un impact sur la rentabilité de l’entreprise. « Lors du Sommet de Pittsburgh tenu en septembre 2009 où l’engagement a été pris d’améliorer la régulation, le fonctionnement et la transparence des marchés financiers et de matières premières, peu de mesures concrètes ont toutefois été prises à ce jour. »
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Il en résulte comme conséquence d’avoir incité Goodyear et Genencor à innover. « Depuis 2008, ils ont décidé de mettre au point un caoutchouc synthétique découlant de l’isoprène produit à partir de biomasse renouvelable (obtenue en convertissant du sucre). » devient en soi un motif/cause valable d’aller de l’avant pour un environnement plus sain.
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Selon moi, le simple fait de pouvoir enfin réduire la dépendance aux produits dérivés du pétrole

Enjeu
Il va de soi qu’en voulant innover les enjeux sont grands. Le plus grand à l’heure actuelle est bien celui du secteur économique. D’où une croissance, une stabilité et d’une régulation financière sont à prévoir. Travailler avec de nouveaux produits, demande des connaissances, de la nouvelle technologie et du personnel spécialisé. De par son souci pour l’environnement, il n’en demeure pas moins que Goodyear a à cœur la santé et la sécurité de ses employés. Il n’en demeure pas moins qu’il risque de rencontrer des employés récalcitrants à ses nouveaux