MANAGEMENT
On appelle parties prenantes (Stakeholders), les individus qui dépendent de l’organisation pour atteindre leurs propres buts et dont l’organisation dépend également. Il s’agit de tous les acteurs de la vie économique et sociale qui ont prise directement ou indirectement sur l’organisation ces différents acteurs vont peser sur les décisions des managers qui ont en charge d’exprimer l’intention stratégique ou vision de l’organisation.
Dans les dernières décennies du XXe siècle, la notion de « partie prenante » a évolué pour désigner une personne ou une organisation qui a un intérêt légitime dans un projet ou une entité. En ce qui concerne les processus de décision dans les institutions, dont les grandes entreprises, les organismes d’État et les organisations non gouvernementales, le concept a été élargi pour inclure quiconque ayant un intérêt dans les actions de l’entité.
Pour comprendre les relations de pouvoir qui se jouent entre les différents groupes, nous éclairerons nos propos au regard de la théorie des parties prenantes (E. Freeman) d’une part et, par l’approche des relations sociales entre les acteurs (M. Crozier).
Dans le domaine de la gouvernance d’entreprise, un débat majeur traverse la littérature consacrée aux parties prenantes depuis l'origine pour déterminer si l’entreprise doit être gérée dans l’intérêt des « parties prenantes » ou seulement dans l'intérêt des actionnaires.
Les actionnaires ne sont pas les seuls acteurs du problème. En effet, il faut élargir les champs du domaine social. Pour cela, la formation des acteurs syndicaux est déterminante.
Pour palier à ses difficultés, l’organisation, doit se servir de l’information disponible pour faire levier sur l’entreprise.
Ce sujet nous mène à nous poser différentes questions telles que : Comment associer l’ensemble des partie prenantes à l’entreprise de manière à mettre celle-ci au service de