Maria chapdelaine
Dans Maria Chapdelaine de Louis Hémon, l'amour de la terre et l'idéal féminin sont des concepts ancrés dans leur mode de vie. De fait, la passion de la terre que la famille Chapdelaine est grandement ressenti. Ainsi lorsque la mère Chapdelaine sert le diner aux hommes elle s'évade dans ses pensées. La beauté de la terre la touche au plus haut point comparé aux montagnes: «Non pas la beauté inhumaine, artificiellement échafaudée par les étonnements des citadins, des hautes montages stériles et des mers périlleuses, mais la beauté placide et vraie de la campagne au sol riche, de la campagne plate qui n'a pour pittoresque que l'orde des longs sillons parallèles et la douceur des eaux courantes, de la campagne qui s'offre nue aux baisers du soleil avec un abandon d'épouse.¹» De plus, la famille Chapdelaine est clairement identifié à l'expression forte du pays, faire la terre. Ce qui représente le terroir du Québec. Samuel Chapdelaine décrit avec enthousiasme et entêtement ce qu'est le principe de faire la terre pour lui: « Faire la terre! C'est la forte expression du pays qui exprime tout ce qui gît de travail terrible entre la pauvreté du bois sauvage et la fertilité finale des champs labourés et semés.²» Le terroir du Québec de Louis Hémon est bien illustré lorsqu'il parle de l'amour de la terre de la part de la famille Chapdelaine mais ce roman du terroir traite aussi de l'idéal féminin. C'est ainsi, que François Paradis, dans deux occasions au même moment présente ses goût des femmes: « Qu'elle était donc plaisante à contempler! D'être assis auprès d'elle, d'entrevoir sa poitrine forte, son beau visage honnête et patient, la