Acte II scène 21 : · Figaro s’en sort habilement au début de la scène en justifiant l’impression de la différence de taille. Ainsi, l’homme qu’aurait vu Antonio semblait plus petit puisque Figaro s’est pelotonné en sautant. Prompt d’esprit, i l souligne aussi l’invraisemblance de la présence de Chérubin au château : ‘’ il souligne avec ironie l'invraisemblance de la présence de Chérubin : "revenu tout exprès avec son cheval de la porte …afficher plus de contenu…

Il sent qu’il ment mais il arrive à se justifier avec tellement d’habileté que le comte ne sait plus quoi lui dire et s’avoue vaincu en quittant la scène : "Alors, il est écrit que je ne saurais rien". Les didascalies nous montrent qu'il chiffonne le papier de colère et qu'il veut sortir par dépit. · Il y a une tension dramatique tout au long de la scène durant laquelle nous nous demandons si Figaro s’en sentira vainqueur ou vaincu. · Le comte et Figaro qui sont deux hommes intelligents, s’affrontent dans cette scène. Cet affrontement provoque une tension psychologique. · Finalement, il y a une tension sociale qui a lieu dans cette scène. Le maître et le valet s’affrontent, mais contrairement aux mœurs de 1784, c’est le valet qui l’emporte. Il s’agit d’un événement inhabituel pour un spectateur d’alors. · Cependant, la tension est atténuée par les éléments …afficher plus de contenu…

· Confiant, Figaro ne semble aucunement déstabilisé par Marceline et il est persuadé que son mariage avec Suzanne aura bel et bien lieu, et cela malgré tous les obstacles qui surviennent. · Figaro : n’apprécie pas Bazile et ne lui fait aucunement confiance. Perspicace, il sait qu’il ne peut pas compter sur lui pour les préparatifs de son mariage. · Bazile, amoureux de Marceline,il souhaite se marier avec elle et préfère s’atteler aux préparatifs de son mariage avec Marceline. Scènes 24-26 :Relation intime entre Suzanne et la comtesse met en relief leur