Marie antoinette critique film

888 mots 4 pages
Connaissez-vous Marie Antoinette d’Autriche? Certes vous me diriez que oui. Mais je ne vous parle pas de cette reine qui fut vu par le peuple français comme étant le responsable de leurs souffrances, de cette dame qui a nos yeux à nous nous paraissait sourde et aveugle face aux cris de famines de son peuple. Je vous parle d’une tout autre Marie Antoinette, d’une jeune fille de 14 ans au teint fraichement pale et a la chevelure blonde, aux grand yeux bleu encore animé de candeur. Séparée de sa famille, de ses biens et même de son petit chien, l’Autrichienne se voit marié au jeune Dauphin de la France, Louis XVI. Incarnée merveilleusement par l’actrice Kristen Dunst, qu’on put notamment admirer dans sa prestation Virgin suicides, le spectateur a l’honneur de découvrir une nouvelle Marie – Antoinette dont l’enfance sera bafouillée par un mariage d’union stratégique et une montée au pouvoir précoce. Noyé dans l’ennui de la luxure et de la routine quotidienne, L’Autrichienne tentera tant bien que mal de peindre aux couleurs vives de l’enfance le triste tableau de la vie d’adulte sans se rendre compte que sous ses pieds grondent la colère du peuple français. Ainsi, réalisé en 2005, Marie Antoinette est le troisième film de la réalisatrice Sofia Coppola. Virgin suicides, Lost in translation et même Marie Antoinette aborde tous les trois la vie mouvement de jeune fille. Perdue dans les rues japonaise, optant pour le suicides ou encore victime d’une enfance volée, les héroïnes des films de Sofia Coppola lui permirent de se faire un nom dans le monde du cinéma. Nommé au 59ième festival de Canne en 2066, Marie Antoinette touchera grâce à la candeur et l’innocence des personnages les spectateurs et abordera non pas l’étiquette du film historique mais bien celle d’un film dramatique. Tournée au sein même du château de Versailles, Marie Antoinette offre aux spectateurs un décor merveilleux. Ainsi la fille du réalisateur Francis Ford Coppola nous prouva une troisième fois la

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