Marivaux les fausses confessions
La lettre apparait dans cette scène comme un chef d’orchestre, elle manipule les moindre fais et gestes des deux personnages, permet d’introduire une atmosphère très particulière au sien de la scène et permet de concevoir un décor supplémentaire comme cela est présenté dans la mise en scène de Didier BAZAZ avec l’encrier, la table, la plume et le papier.
Ainsi nous avons toute une mise en scène qui est envisageable grâce à la lettre. Les didascalies nous indiquent des déplacements (« pendant qu’il se déplace », « allant elle-même ») qui peuvent créée une agitation sur la scène et provoquer le rire