Marivaux, les fausses confidences
‘’Les fausses confidences’’
(1737)
comédie en trois actes de MARIVAUX pour laquelle on trouve un résumé des notes puis successivement l’examen de : les sources (page 11) l’intérêt de l’action (page 12) l’intérêt littéraire (page 16) l’intérêt documentaire (page 17) l’intérêt psychologique (page 18) l’intérêt philosophique …afficher plus de contenu…
Le rôle du troisième acte est de les faire éclater aux yeux de tous, de façon que le mariage s’impose comme seul dénouement possible.
- «je ne m'y épargne pas» : Je travaille de toutes mes forces à le faire sortir.
- «je vous entends» : Votre discrétion ne trompe ni l'esprit malin ni-moi-même, car je vous comprends à demi-mot.
- «Tu as la mine d’en savoir plus que moi là-dessus» : Tu as l'air de quelqu'un qui en sait plus que moi sur ce sujet. Scène 3 :
- «où demeure la rue du Figuier» : Arlequin parlait encore un mauvais français.
- «la rue du Figuier» : Elle se trouvait dans le quartier Saint-Paul, vers l’actuel lycée Charlemagne. …afficher plus de contenu…
Mais I'amour d'Araminte, qui n'est au début qu'un goût ou une attirance, ne peut se développer que par contagion ; il faut qu'elle connaisse les sentiments que
Dorante ne peut exprimer devant elle ; c'est donc Dubois qui se charge, avec une habileté consommée, de la confidence qui la bouleverse. Le procédé ainsi défini, on s'aperçoit que Marivaux
I'applique à plusieurs autres reprices dans la pièce :
- En I, 17, la confidence exacte de Dubois à Marton, par laquelle il lui révèle l’intérêt que Dorante porte à Araminte, et jette l’inquiétude en son cœur.
- En II, 1, Dorante incite Araminte à plaider et donc à ne pas se marier avec le comte, comme à