Marketing des services
I) La prééminence de la production
Idées Majeures :
- La consommation est en dehors de la sphère de compétence de l’économie (ne correspond pas à l’être rationnel et consommateur défini par l’analyse néoclassique)
- Si les besoins de l’homme étaient insatiables et illimités, le marketing ne serait pas nécessaire.
II) La prédominance de la vente « Déclic » de la crise de 1929 : il y a alors une rupture fondamentale de la fonction commerciale (les consommateurs n’ont plus les moyens d’acheter la production des entreprises). De plus, l’intensité concurrentielle est plus forte.
La question de la rigidité de la production est donc remise en cause (le volume et les caractéristiques des produits ne peuvent être modifiés à tout moment). Les entreprises doivent donc définir leur offre sur le marché de façon précise. Elles doivent provoquer la demande.
III) Le développement du marketing : Années 50 : il y a une augmentation de la productivité, une augmentation de la demande et la concurrence s’intensifie. Les premières techniques de marketing apparaissent et cherchent à influencer le comportement d’achat du consommateur. L’entreprise doit donc connaitre le marché et la concurrence pour adapter rapidement son offre la demande. On passe donc d’un marché de producteurs à un marché de vendeurs.
IV) L’avènement de l’offre créatrice et du marketing relationnel : Le marketing créé de nouveaux besoins. Cependant, les innovations de rupture et les changements de mode de vie sont difficiles à accepter pour la population au début (résultat des premières études de marché). On met donc sur le marché un nouveau produit en espérant qu’un nouveau besoin sera créé. C’est le phénomène de l’offre créatrice.
Marketing relationnel : le lien entre le client et l’entreprise n’est plus uniquement économique ; on introduit une relation affective entre le consommateur et la marque.
Introduction générale
Stimuli : convergence du besoin et du processus