Dans un contexte de récession les consommateurs voient leur pouvoir d’achat diminuer, ils font donc attention à leurs dépenses. D’après Filster le marketing sensoriel « révèle chez le consommateur des réactions affectives, cognitives et comportementales favorables à l’achat d’un produit ou d’un service » mais dans le but que l’expérience vécue soit mémorisée et que le consommateur devienne fidèle à la marque.
Le consommateur est à la recherche de sens et de plaisir, c’est pour cela que le marketing sensoriel fait appel à la perception et à la subjectivité de chaque individu, afin qu’ils vivent une expérience nouvelle et unique.
Le marketing sensoriel fait appel aux 5 sens de l’individu : le marketing visuel, le marketing sonore, le marketing gustatif, le marketing tactile, le marketing olfactif.
Le marketing sensoriel a pour objectif de stimuler le comportement du consommateur afin d’attirer son attention, de renforcer son confort d’achat mais également de communiquer de manière ciblée. Les stimuli peuvent être divers, et font partis des 5 sens : la diffusion de parfum, l’éclairage, le son ou l’ambiance du magasin etc…
L’objectif du marketing sensoriel du coté du distributeur est d’augmenter les ventes tout en jouant sur les réactions affectives des consommateurs et cela passe par la gestion de l’environnement des points de ventes. La mise en place de l’environnement a pour but de « réveiller les sens » du consommateur mais également de « favoriser une expérience sensitive et émotionnelle».
Afin de répondre au mieux aux besoins auxquels aspirent le consommateur des recherches ont été menées. Elles se concentrées tout d’abord sur les « différentes variables de l’atmosphère : la musique d’ambiance, les odeurs, les couleurs, la foule » cependant désormais les recherches ont évoluées et se concentrent dorénavant sur l’ « atmosphère de façon globale ». Les espaces de vente est un lieu dans lequel le distributeur a effectué des mises en scène de concepts et de