Les environnements : Politico-légal : Les menaces : Le domaine de la cosmétique est régi par une législation stricte (directives européennes). La communauté Européenne agit pour assurer aux consommateurs dans tous les états membres un niveau croissant d’information et de protection en matière de produits cosmétiques. Différentes garanties sont proposées et imposées selon l’étude de l’INC (Institut National de la Consommation) ; à savoir les labels et signes de qualité, l’étiquetage… De nombreuses ambiguïtés ont été relevées concernant les tests effectuées (aucune mention légal, aucune référence concernant l’auteur de ces tests…), l’indication hypoallergique qui suppose des tests cliniques préalables induit le consommateur en erreur puisque aucune information précise n’est donnée sur la batterie des tests… En cas de doute sur la qualité d’un produit, l'Agence de Sécurité Sanitaire a le pouvoir de le faire retirer immédiatement du marché ; (source FIP - Cosmétique ? Confiance !) Le fléau de la contrefaçon se développe de plus en plus. Il consiste en la reproduction, l'imitation, l'usage, l'apposition, la suppression ou la modification d'une marque (selon le Code de Propriété Intellectuelle). La Commission européenne a établi que la contrefaçon en général ampute la richesse de l'Union européenne de 8 milliards d'euros par an. Les opportunités : Cette législation stricte et les études menées pour évaluer permettent donc garantir pleinement les attentes légitimes des consommateurs à obtenir des informations, et de surcroît des informations exactes. Plus d’informations compréhensibles sur les ingrédients, leurs quantités notamment lorsque celles-ci font l’objet d’une accroche sur l’étiquetage, des conseils d’emploi plus pertinents, des précautions d’emploi plus complètes, de meilleures consignes de stockage, une efficacité annoncée qui serait fondée sur de