Marseille
Le grand chef gaulois, prend la décision d’installer ces importantes troupes à l’oppidum d’Alésia tandis qu’il envoie ces plus fidèles cavaliers à travers la Gaulle afin de ramener des renforts pour prendre les romains en tenaille, stratégie qui lui avait rapporté la victoire à Gergovie. Afin de rendre la place forte imprenable il fait construire des murs de protection par ces braves et vaillants soldats.
Quand le prestigieux césar arrive sur le légendaire site, il découvre une citadelle magnifique et imprenable. Il décide donc d’assiéger les gaulois mais en tirant la leçon de la mémorable bataille précédente qu’il a perdue, il installe ses onze héroïques légions de manière à avoir une double protection de lignes fortifiées. De plus, il leur fait édifier des structures visant à contraindre les gaulois à rester dans leur forteresse et à éviter que les éventuels et espérés renforts ne puissent aisément les rejoindre. Les preux légionnaires ne sont pas seulement des grands guerriers, ils délaissent leur brillantes armures et se transforment en grands bâtisseurs, les voici creusant des gigantesques fossés dans lesquels ils installent tantôt des pieux, des pointes de fer, voire même ils acheminent de l’eau. Malgré tous ces travaux titanesques, ils continuent néanmoins à s’entrainer pour être prêts à affronter le moment venu, les terribles guerriers gaulois qui ne pourront pas resté confinés dans leurs bastille sans nourriture et qui sortiront plus irrités et excités et plus que jamais décidés à faire mordre la poussière à leur glorieux occupants. Les gaulois assiégés pouvaient ainsi entendre les glaives s’entrechoquer, les injonctions des chefs