| | Manet l’exécution | Picasso massacre en Corée | Date de création et Localisation | 1814 Musée du Prado à Madrid | 1868Mannheim, Städtische Kunsthalle | Massacre en Corée, 1951Paris, Musée Picasso | Groupements | 3 | 3 | 2 | Analyse des plans | La lumière blanche met en évidence un espagnol. Le peintre avec cette luminosité met en avant les victimes espagnoles dont on peut voir les cadavres au premier plan.Au contraire on remarque une lumière plus obscure, pour les soldats français, signe de leur violence . L’armée de Napoléon semble nombreuse et ordonnée face aux espagnols, le procédé de répéttion est utilisé.Le soldat espagnol sur lequel la lumière est pointé porte une chemise blanche, synonyme de pureté et d’innocence, ce n’est donc pas un hasard,il parait crusifié et la position des soldats de Napoléon laisse présager que sa vie est fragile.Avec cet œuvre Goya met en avant son point de vue, il dénonce des soldats français sans limite et un peuple espagnol victime.Ont suppose que la scène se déroule la nuit car une lanter éclaire les champs de bataille.L’arrière plan est sombre pour accentuer le contraste avec le point de lumière mis sur le peuple espagnol | 3 plan pour cette peinture :Au 1 plan :les soldats françaisAu 2nd plan : les victimesAu 3ème plan : le peuple sombreL’uniforme de la victime laisse présager qu’il s’agit d’une personnalité entouré par ses gardes.On peut supposer qu’il s’agit de l’exécution d’un roi ou d’un empereur.Scène violente car le feu des fusils témoigne de l’exécution. | 2 plans :1er plan : soldat et victime2nd plan : un village en ruineLes soldats de Napoléon à droiteA gauche : les victimesNuditéOpposition entre les rondeurs et formes harmonieuses des corps nu contraste à la froideur des armes métalliques et au corps robotisés de l’arméeL’expression sur le visage des victimes laisse percevoir la peur, renforcé par l’attitude des enfants.Scène la moins évocatrice car absence de sang mais laissant présager d’une barbarie