melancholia
Dès les 3 premiers vers, V Hugo emploie la forme interrogative. Il interroge directement le lecteur grâce au registre pathétique du poème (CITER). En effet, Il met en opposition sous la forme d’une série d'antithèse, l'image de ces être innocents ravagés par le travail : « tous » et pas « un seul » : Ou vont tous ces enfants.... Victor Hugo décrit avec un réalisme, l'horreur de l’état physique des enfants. Il insiste sur leur mauvaise santé « que la fièvre maigrit, quelle pâleur ! » « bien las , rachitisme ! ».Au vers 2 et 3, Hugo utilise une anaphore « ces enfants, ces doux être, ces filles de huit ans. » QUI CONTRASTE ENSUITE AVEC LA MOITIE DE L'AUTRE VERS : que la fièvre maigrit, qu'on voit cheminer seules... L’auteur UTILISE une forme de question réponse pour EN FAIRE UN TEXTE ARGUMENTATIF. DES VERBES DE MOUVEMENTS, s'en vont, vont, donne l'impression d'un temps qui s'échappe et le fils de la vie de ces enfants s'en va peu à peu … HUGO souhaite aussi attirer l’attention du lecteur sur le fait que les enfants sont constamment écrasés par le travail : il emploie à plusieurs reprises l’adverbe « sous » : « sous des meules », « sous les dents » et compare le monde de l'usine à un monstre de fer : « Accroupis sous les dents d'une machine