Melissa
Kantorek,
Je vous écris du front de Verdun, là où je vois chaque jour tombé des centaines de
soldats.
Si je vous écris c'est que je suis persuadé que vous n'êtes pas inconnue des raisons de
ma venue ici, dans ce conflit mondial.
Par votre faute je subit des traumatisme a longueur de journée, aussi bien sur
le front que dans la tranchée. Tous les jours je vois mes camarades tombé sans
presque jamais pouvoir rien faire, je suis impuissant de tous ce qu'il ce passe ici.
Dans la tranchée nos conditions de vie sont insupportable.
Vous savez aussi bien que moi pourquoi je suis si agressif avec vous, ce que je vous
reproche, sinon cette lettre est faites en partie pour cela. Vous aviez « l'art » de la
parole, vous étiez très convaincant pendant les heures de classe. Vous disiez que
c'était un honneur de porter l’uniforme, que nous allions rendre un grand service a
notre pays, qu'on se battais pour représenté l'Allemagne, mais vous avez fais que
venter ce qui est en réalité un cauchemars. Vous avez jouer de votre statu de
professeur pour nous influencer. Je m'en suis rendu compte, dès lors que mes
premiers camarades mouraient. Vous savez Mr Kantorek, être professeur c'est un métier ou l'on se doit de mener ces élève vers la maturité, les aider a se construire et
n’ont pas les guidée vers la mort et les détruire. Vous avez été néfaste pour tous les
élève que vous avez poussé a s’engager car plus jamais ils n'auront la même vie,
plus jamais ils ne seront pareil. Je reste persuadé que nous étions trop jeune pour
ces hostilités.
Aujourd'hui je sais que a partir de la fin de cette guerre, je serais contre toute
forme de violence, contre tous conflit, contre tous armement. A la fin de cette enfer
plus jamais l'on me verras sur le front.
Tous mes amis et camarades sont déjà mort, du moins la plupart. Vous êtes un
crimminel de tel sorte que des