Le Mexique a fait d’importants progrès au niveau éducatif ces deux dernières décennies. l'Etat a fait construire des écoles. En 1900, on n'en comptait moins de 10 000 dans tout le pays pour accueillir quelques 700 000 élèves. Aujourd'hui, il y a presque 100 000 écoles pour 14,8 millions d'élèves, ces établissements ont permis d'augmenter le taux de scolarisation.
Mais le Mexique se caractérise toujours par de hauts niveaux d'inégalité sociale qui s'expriment notamment par la répartition de la richesse nationale, l'accès à l'éducation, à la santé, au logement, à la culture, etc... 10% de la population de plus de 15 ans est encore analphabète, contre 25% en 1970. Ces chiffres cachent des inégalités énormes.
Dans les Etats riches du nord, il y a moins de 5% d'analphabètes. A l'inverse dans les Etats pauvres du Sud (Chiapas, Oaxaca; Guerrero), ce taux est supérieur à 23%. Cela signifie que presque une personne sur 4 ne sait pas lire. Et il s'agit plus souvent des femmes. En moyenne nationale, 12% des femmes sont analphabètes contre 8% des hommes. En zone rurale, les filles sont encore incitées à rester à la maison et certains parents (eux-même analphabètes) ne considèrent pas l'école comme essentielle.
Même si 100% des enfants vont à l'école, seuls 85% atteignent la 5ème année (CM2).
Dans notre dossier nous allons nous concentrer sur l'aspiration scolaire des éleves, qui dépend de deux facteurs. Le premier étant le niveau d'études des parents et le deuxième l'investissement des parents qui prend en compte 5 questions.L'investissement parental, le matériel scolaire, les suivis des devoirs (discuter de ce que l'enfant a appris à l'école et mobiliser les autres sources.
I L'école nourrit les plus grande esperance de mobilité. (MOBILISATION PARENTAL PLUS FORTE)
Mettre le tableau 2, caractére gras surprésentation, 2/3 des éleves aspirent à la licence soit 25 %. De forte esperance que le systéme scolaire n'assoupira pas. Parler des professional (beneficie d'un