Microéconomie

17642 mots 71 pages
Analyse microéconomique
Fenoglio

http://www.pse.ens.fr/junior/parent/tdmicro.html

Introduction:

La notion de concurrence:

Chez les classiques: P1

1776, Adam Smith, économiste écossais, rédige un ouvrage du nom «Recherche sur la nature et les causes de la richesse des Nations». Théorie de la valeur travail, globalement : c’est le travail qui crée la richesse. Il aborde dans son ouvrage la question de la concurrence: pour lui, c’est un trait psychologique, un type de comportement, un état d’esprit, c’est en fait la recherche par chaque individu de son intérêt personnel, l’idée derrière est d’être meilleur que les autres. (en anglais: Competition). Pour Smith, la concurrence est le principe fondamental de l’organisation de la vie des affaires, la concurrence est le moteur de l’activité économique. Pour Smith la concurrence à deux bienfaits: grâce à la concurrence on a une tendance à l’égalisation des prix de marché au prix naturel (coûts de production); cette concurrence permet d’annuler les superprofits (profits supranormaux), il reste alors des profits normaux. Pour Smith, il faut laisser les individus libres, qu’ils recherchent leur intérêt personnel, en agissant ainsi les intérêts individuels sont bénéfique pour l'intérêt collectif: MAIN INVISIBLE. Pour que la concurrence fonctionne, il y a des conditions favorables, mais non totalement indispensable, tel qu’un nombre élevé d’agent, que les agents disposent de l’information sur les marchés, que la liberté d’entreprendre soit assurée.

Chez les néoclassiques:

Avec l’arrivée des néoclassiques, secondes moitié du XIXe siècle, la théorie économique change de problématique: Allocation optimale des Ressources.
Ressources limités: la question est comment, avec ce que l’on a, produire un maximum de richesse, on cherche l’efficacité, le non gaspillage.

On donne néanmoins certaines conditions, apparaissent alors les hypothèses de la concurrence pure et parfaite (CPP): (ces derniers savent que ces

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