Mme de bauvari
①. Le personnage romanesque de la vieille fille
Tout d’abord, ce passage s’ouvre sur une formule impersonnel qui ressemble au début de conte : « il y avait », s’ajoute à sa la présence de l’imparfait duratif. On a donc en quelques lignes le résumé des on passé prestigieux et de son présent frustrant et monotone auquel elle essaye d’y échappé grâce aux livres.
Ensuite, la vielle fille a une sorte d’emprise sur les jeunes filles puisse qu’elle pervertit innocemment des jeunes filles : « souvent les pensionnaires s’échappaient de l’étude pour aller la voir ». A plusieurs reprises, l’auteur prend le lecteur à témoin avec la présence du « vous » comme on le voit à la ligne 11 « vous apprenait ».
Les champs lexicaux du cœur composé des mots « cœur, amours, amants, amantes, baisers… » Permet d’insister sur le fait que la jeune fille à l’intention de vivre sa vit mais elle renonce et préfère se tourné vers la facilité du rêve. On remarque aussi une métaphore aux lignes 25-26 « Emma se graissa donc les mains à cette poussière des vieux cabinets de lecture » qui qualifie la lecture d’Emma comme de la crasse.
Enfin, on remarque aussi un contraste entre les lieux religieux (le couvent) où les jeunes filles ont une éducation stricte loin de la tentation et l’éducation sentimentale faite par une vieille fille à travers ses chansons et ses livres qui racontent des adultères, la liberté et exagère les sentiments des personnages tout cela crée que illusions et rêve. Elle représente la liberté pour ses jeunes filles, qui sont enfermé dans un monde ‘ saint ’, à travers ses « chansons galantes, ses histoires » remplies de « messieurs braves comme des lions, doux comme des agneaux, vertueux comme on ne l’est pas, toujours bien mis, et qui pleurent comme des urnes».
Emma même adulte et marié continu à croire à ses histoires romanesque. C’est a partir de ce moment la qu’Emma commence à confondre l’idéal et la réalité et cherchera à