I) B)

-Pauvreté nouvelle malgré l’existence d’un travail.
-Eventails salaires largement élevés.
-Enquêtes multiples montrent que échelle des conditions multiples, ouvriers qualifiés capables de maitriser les techniques de leur métier ainsi que les machines qui demandent un savoir faire ouvriers très recherchés et très bien payés proches des classes moyennes.
On les appelle les « Sublimes », un petit patron parisien Poulot (1870) a décrit ce type d’ouvriers auquel il a à faire, types d ‘ouvriers indispensables car qualifiés donc appréciés, ils jouissent d’une large autonomie du fait de leur savoir-faire, ce sont donc eux qui ont le pouvoir car ils ont la maîtrise sur la production.
Ils ont aussi un niveau d’instruction, ils sont souvent à l’origine de la pensée ouvrière, c’est une petite élite qui va avoir un rôle moteur, elle s’affirme par la dureté du travail.

-En bas, masse de mains d’œuvres, classes populaires. Chevalier a travaillé sur ces classes populaires et a écrit un ouvrage intitulé « Classe populaire, classe dangereuse ».
Dans années 1830 puis 1848, ces classes font peur, ST Marc Girardin appel la classe bourgeoise a faire preuve de solidarité face au danger qui se lève de classe populeuse.
« Les nouveaux barbares sont ceux qui peuplent au pied de nos villes » 19ème siècle : siècle de peur, pauvreté concentré qui menace de prendre le dessus.

En GB, Work Houses (maisons qui accueillent les travailleurs sans emploi et qui subvient à leur besoin contre leur travail : remise dans le droit de chemin des ouvriers par le biais du travail, prise en charge social par ces indigents) réhabilitées en 1834 supprimées en 1795 par un système d’aide a domicile pour indigents.
Le mouvement ouvrier se réappropriera la révolte des Canus (Lyon), ce ne sont pas des ouvriers ni des prolétaires mais sont des petits patrons qui travaillent dans le cadre du Domestic System.

Dans toute première moitié du 19ème, tous les ouvriers connaissent une baisse